Une journée sans asphalte!
Les journées se suivent mais ne se ressemblent pas , mais alors pas du tout! Ouverture des rideaux: pluie! pfffffff….Nous devons revenir sur nos pas pour attaquer la descente de l’île. Oui mais, l’aller de cette partie, c’était grande route et trafic….donc, le retour se fera sur les pistes! Ayant franchi avec une relative réussite les étapes de bizutage, les kadors m’emmènent sur pistes sous la pluie….aie, aie, aie! Que d’épreuves tout du long! Déjà, ça a mal commencé, il a fallu s’arrêter pour réparer le dérailleur du Professor. .et alors, là, je vous explique pas ses explications en anglais de 1ère catégorie ( hein, manu, tu sais, toi ;)). Le commodore dépité. ..tant d’années à apprendre cette langue, et s’en sortir avec ÇA!
Quelques biclous pour Hervé et Jean Luc… Bon, on repart…
Puis pistes, et repistes…Puis le bac…nous voilà mal, débarqués sur Rabbit Island …pas sûre qu’on s’en sorte, sur ce coup là …des rabbits, j’en vois pas beaucoup…si en plus il faut chasser pour se nourrir, on est mal barrés!
Énième obstacle! Koko nous a envoyé une armée de vaches….elles nous bloquent le passage….bon sang de bonsoir de screugneugneu de bestioles…elles sont au moins….trop nombreuses… y’en a marre, on lève la corde et on franchit le fleuve vaches….zut, corde cassée. …oh rezut….y’a une vache qui essaye de se tirer….viiiite Professor…..rattache nous tout ça! et pendant ce temps, moi, je suis bloquée sur la voie des monstres avec 2 vélos. …oh misère, elles s’approchent…viiiiite….faut y aller là . …pfffffff. …l’ai échappé belle….
Finalement, on arrive à sortir de là, je suis entière, eux aussi, mais ça c’est plus facile, la couenne est épaisse! Arrivés à l’hôtel pourris, trempés; très belle installation à la Mac Gyver ! Pendant que le Professor et moi allons siroter notre jus de céréales, le commodore reste à l’hôtel faire un peu de couture.
Parfois on est bien dans son lit
Alain Guigny. Il y a une bonne grosse trentaine de cela, il était parti avec son biclou, faire un petit tour autour du monde. Cela m’avait un peu fait rêver, de lire son bouquin. Il avait croisé au milieu de nulle part, un éléphant qu’il avait d’abord pris pour un camion citerne. Récit cocasse et hallucinant.
Il y a de cela ce matin, à te lire, Véro.
Ahhh bon… l’on se disait qu’un trip sans Pb de dérailleur du professor, ce n’était pas franchement normal !
… il s’était tellement entrainé au fil de la saison, faut bien que ça paye un jour!
Très beau roman ! …
Sans photos notre imaginaire vagabonde….
Rodéo …langage des signes….Indiana John… Mc Gever sans dé à coudre…!….
Tu vas pouvoir postuler pour le prochain Goncourt 2017….
Beaucoup plus gratifiant
La notoriété est au bout du chemin
Desolee pour le troupeau de vaches que je n arrive plus à contenir je vais changer et faire la collec de fourmies ! Moins envahissantes certes, mais pas forcément moins nocives
Francis, il te manque un peu de poids et tu pourras integrer l’équipe des All-Blacks !
Mais quel fou rire de bon matin !!! Merci !!!
Vero , Merci pour cette lecture cocasse .
Ça te met de bonne humeur pour la journee !
Les films et photos à l’appui te mettent bien dans l’ambiance ….bonne nuit ! Bises
Très bonne ambiance en fait…malgré ce temps de cochons qui ne facilite pas les choses….donc il nous est facile de nous amuser dans l’adversité
C est un vrai film cette journée, je l imagine en vitesse accélérée … comme au temps du cinéma muet. Quels acteurs ! vous êtes très drôles 🙂