- Ça y est! On rêvait ce trip depuis des mois et des mois, va falloir pédaler maintenant ! les 2 gars très confiants, par expérience, moi un peu moins. « z’êtes sûrs que j’vais y arriver? Au fait, on n’a rien pris pour grignoter en route? On va faire comment? » Le commodore , tranquille « t’inquiète, petite, on va acheter ce qu’il faut sur la route »…60 kms et un certain nombre d’heures plus tard….avec une Warrior totalement HS affamée pas possible….enfin une espèce d’épicerie au bord de la route….frugal repas mais j’aurais mangé un éléphant! Et là vous me demandez, impatients: les paysages , c’est comment…ben, vous imaginez les montagnes russes, avec du vert, des vaches et des moutons….road up, road down.. ..magnifique au demeurant.
L’arrivée se fait en redescendant doucement vers la mer, dans une plaine de vaches en adondance. on arrive à Miranda,dans un camping très joli, pour dormir finalement dans une chambre à lits superposés, toilettes à l’extérieur, pas de drap ni couverture, ni petit dej, en mode rustique! rho la la….y sont rudes ces gars là! 4 semaines comme ça. …dans quoi je me suis embarquée !!! heureusement une récompense à cette dure journée de demarrage: un onsen, oui oui manu, ça existe aussi ici, dans lequel professor et moi pataugeons une bonne heure tandis que le commodore se ressource sur les hauteurs de son matelas…
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ma foi, au vu de la photo, rusticité n’exclue pas belle allure du trio!
eh ben… bon courage à toi Véro il va falloir que tu t’imposes auprès des gars pour veiller à l’intendance avant chaque départ.
Plein de belles aventures à vous trois.
Bises
Monica
les champs verts- c’est jolie
ça c’est de l’aventure ! Il semble que l’esprit fantassin ne se perde pas.
Merci pour ces infos ..apparemment vous ne captez pas bien internet non plus …..allez courage Vero c’est l’aventure mais mon petit doigt me dit que vous serez mieux lotis aussi ….
Bravo Vero pour cette première étape, je suis admirative. Continue et bonne nuit !
Belle entree en matiere. L’optimisme des loustics n’a pas de limite. Toujours anticiper un potentiel emballement des optimistes par le minimum vital.