Nous quittions ce matin notre super gîte de Palmavera, où nous avons été accueillis avec grand soin par Lucia et sa famille. C’était un superbe endroit très reposant. On aurait pu y rester la semaine… mais non.
Traverser Alghero tôt le matin, dans la fraîcheur amenée pendant la nuit par une petit averse. Se lancer vers le sud par la route côtière superbe avec en permanence la vue sur la mer. Sortir de temps en temps quelques watts pour se hisser en haut d’une côte (il faut bien qu’une route côtière ne soit pas plate… ce serait trop simple).
Au bout de ce spectacle permanent de la méditerranée de carte postale, nous entrons dans Bosa, petite ville multicolore bordant le Temo, court fleuve Sarde enjambé par le pont que nous traversons pour nous restaurer un peu.
Le serveur Sarde de Bosa ne danse pas la Bossa. Il dispose d’une enceinte d’un mètre de haut par laquelle il diffuse essentiellement de la musique Italienne des années… passées.
Passons rapidement sur le menu (charcuterie, pastas i tiramisu), et nous voilà répartis vers notre destination en montagne : Sindia.
Un joli prénom peut être, mais une belle vacherie pour y parvenir. 16 bornes pour 500m de d+ qui s’ajoutent aux 800 des premiers 50km. La chaleur, bien que raisonnable pour la saison, termine de nous achever.
Heureusement la douche et la sieste… ce soir… pasta… demain 80km au programme si on ne cuit pas avant.
Et là je coupe, on va faire des courses (je ne sais pas où puisqu’il n’y a rien ici).
Bises