90 km dont 60 en agglomération !

  Pour commencer la journée nous avons été voir le plus grand bouddha du Japon à Nara histoire de se faire pardonner notre nuit au love hôtel .  Ensuite nous avons cherché la route la moins fréquentée pour aller vers Osaka.

Au lieu de 70 km nous en avons fait 90 

  

  •  la traversée d’Osaka et Kobé s’est plutôt bien déroulée .
  • Ils ont des trottoirs très  larges où circulent de façon anarchique les vélos et les piétons .
  • Nous avons alterné route et trottoir sur 60 km en terminant par de la 2 fois 5 voies.
  • Nous avons rencontré environ 400 feux tricolores.

Ceux qui ont eu le plus à craindre aujourd’hui sont les piétons et cyclistes japonais se trouvant sur la trajectoire du commodore.  nous sommes arrivés vers 17 h à Kobé avec une overdose de démarrage aux feux tricolores

Sayonara

Hier soir je suis rentré à l’hôtel vers 23h il me semble. Miho m’a raccompagné depuis Guinza après une soirée encore énorme, n’ayons pas peur des mots. D’abord une visite d’un beau quartier (Azaquelquechose) son temple et ses boutiques avec elle, puis un repas à Ginza avec une de ses amies de Tokyo. Un très bon repas typique dans un minuscule restaurant coincé sous la voie ferrée avec une ambiance très sympa.

Les filles m’ont fait goûter de nouvelles choses (du foie d’anguilles, de l’intestin de porc ou des tentacules de petites sèches (or Somethîng like that…)

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On a descendu quelques biru et quelques verres de saké. ..

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c’était plein se monde, partout, mais je n’ai pas eu la sensation d’étouffer dans la foule comme je le craignais un peu.

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Le réveil ce marin a été bien difficile. C’est la première fois qu’après avoir passé la porte de la chambre et raconté 2 conneries sur messenger, je sombre dans un profond sommeil sans même éteindre la lumière ni faire ce que je devait faire en rentrant  (préparer mes sacs pour ce matin).
Heureusement à 5h du matin le soleil  m’a réveillé. J’etais sur le lit, en short, toutes les fringues que je devais ranger hier soir étalées par terre… J’ai pu programmer mon réveil à 7h, prendre 2 dolipranes pour cause de mal au crâne (saké effect) et me rafraîchir un peu puisque les lumières étant restées allumées toute la nuit sans ouvrir la fenêtre, j’étais dans un four…
Bref. Une sorte de double cuite…

Le taxi qui m’a emmené à l’aéroport a bien vu que j’étais un peu out et à pris la peine de me faire raconter mon voyage. Il était bien sympa et m’a permis de tenir éveillé jusqu’à l’aéroport.

C’est toujours la même histoire : quand se finit le voyage on pense revenir rapidement profiter de ce qu’on a manqué ou simplement faire découvrir le pays a nos proches. Alors on ne manque pas de prendre rendez vous pour bientôt à Kyoto ou Tokyo comme on l’avait fait à kilarney, Oslo ou ailleurs. Bien sûr ce n’est pas toujours facile à faire, mais ce coup ci j’ai dans l’idée qu’on reviendra bientôt quand même en famille.

Nous décollons maintenant. Survol de la ville gigantesque. Au loin le Fuji nous regarde paetir, sous le soleil au dessus d’une couche de nuages blancs… sayonara Fuji San.

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